Ebook Journal intégral

Minggu, 15 Agustus 2010

Ebook Journal intégral

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Journal intégral

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Journal intégral

Détails sur le produit

Broché: 1024 pages

Editeur : Bouquins (9 février 2017)

Collection : Bouquins

Langue : Français

ISBN-10: 2221193318

ISBN-13: 978-2221193310

Dimensions du produit:

13,2 x 2,6 x 19,8 cm

Moyenne des commentaires client :

3.7 étoiles sur 5

6 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

197.998 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

version non expurgée, drôle et vivante, dense aussi d'anecdotes parfois coquaces et souvent révélatrice des milieux culturels de cette période. Style fabuleux par endroit, fluide et passionnant.

formidable temoignage ,intelligent, cultivé drole et on apprend des tas de choses en se distrayant,une traversée du siecle avec humouret quel style !

Comme déjà signalé, la qualité typographique est consternante. C'est tout simplement mal scanné, et personne n'a relu, d'où une kyrielle de fautes, de coquilles, de ponctuations aberrantes, de mots césurés au milieu de la ligne, etc. Un exemple parmi d'autres : on a imprimé Pété, au lieu de : l'été — and so on, encore heureux qu'on soit aidé par le contexte, mais c'est exaspérant. Je n'imaginais pas lire un jour un volume Bouquins d'une facture aussi déplorable (le prix lui ne s'est pas effondré). C'est d'autant plus fâcheux qu'on nous vante l'éclat stylistique de cette prose… Il est permis d'être plus mesuré, même si la lecture est intéressante et le propos parfois merveilleux, malgré la dimension répétitive d'un texte qui se regarde beaucoup écrire. Mais enfin c'est une jouvence par les temps qui courent ! Sinon, quelques notes historiques n'auraient pas été superflus, les allusions à l'actualité sont parfois complètement opaques si on n'a pas présents à l'esprit les événements de l'après-guerre. Preuve supplémentaire qu'il n'y a eu, en fait, aucun travail éditorial sérieux.

Un chef d'oeuvre et un livre important. Il y a, bien sûr, les portraits éblouissants des écrivains des années 50 et 60 que Matthieu Galey a côtoyés. Mais surtout l'histoire personnelle d'un homme libre, qui sait éminemment se rendre sympathique et intéressant. Une nostalgie poignante dès ses 19 ans (début du journal). Et puis bien sûr, le dernier quart du Journal, qui raconte sa maladie incurable (la SLA), les deux dernières années de sa vie. Une leçon de courage, et de style. Au bout du compte Matthieu Galey, hanté par son incapacité à écrire une oeuvre, a finalement produit un livre bien plus important que ceux de bien des écrivains connus qu'il fréquentait jeune homme. Mais, trente ans après la parution, s'agit-il toujours de l'édition caviardée de 1989? Ou bien d'une version complète?

Critique littéraire et dramatique prématurément disparu, Matthieu Galey (1934-1986) laisse un journal initialement publié en deux volumes, après sa mort.Entre d’innombrables voyages professionnels ou d’agrément, des centaines de relations sexuelles avec des garçons de rencontre, des déjeuners littéraires et des dîners mondains, tel est son ordinaire durant plus de deux décennies, de pissotières en salons des plus huppés.Avec un don précoce pour approcher tout ce qui compte dans le monde des lettres, de Louis Aragon à Jacques Chardonne, et du coup d’œil mais la dent dure, il admire peu, méprise beaucoup, prenant un malin plaisir à caricaturer, tourner en ridicule. Volontiers comparées à des animaux, les femmes sont particulièrement gâtées. Yourcenar, ce « lourd paquet » ? « Une grosse termite ».De mère juive mais sans guère de philosémitisme, et se plaisant à la compagnie de vieillards réactionnaires (Gaxotte, Morand) et lubriques (Jouhandeau), Galey cancane et ricane. Ne s’aimant pas beaucoup (il se dit « odieux, aigri, destructeur, pervers, déplaisant »), il n’apprécie pas trop les tantes (sic). Sans pitié pour les « péquenots » ou les prolétaires, monstrueusement snob mais parfois vulgaire, et de longue date habité par une angoisse de mort qui ne le lâche guère, comme vieux avant l’âge, il passe à côté de l’histoire, n’écrit rien sur Mai 68, et reste superficiel.Le diariste, qui à douze ans avait couché avec la bonne, et à quarante-huit manqua de tuer sa mère, pique notre curiosité, nous amuse. Mais à la différence d’un Julien Green, dont l’œuvre compta pour lui, et qu’il rencontre — il remarque son chapeau noir de pasteur et ses grosses chaussures de curé —, il ne nous émeut pas vraiment.Jusqu’en avril 1980, où il note : « Avoir appris, non sans une certaine satisfaction, que j’étais incurable, et que je mourrai probablement du cÅ“ur ». Il succombera six ans plus tard d’une sclérose latérale amyotrophique, à cinquante-deux ans.

Bonjour. Pas facile de faire court. Pardon. Polémiste ? Échotier ? Traître haï, chéri ? Une objectivité sans sel ? (si vous aviez 04 hres).1- Votre commentaire, aisément compréhensible et (ou car) dénué de coquilles (typographiques), réactive en moi le vieux ringard nostalgique du travail tout simplement nécessaire des correcteurs partis en retraite sans avoir formé leurs successeurs. En France, on fourmille d’idées, mais il semble qu’on n’a pas encore d’excellents techniciens en littérature industrielle (quel fascinant antagonisme !).2- Quant au fond (si je puis dire), je n’ai pas lu ce livre et, pour trente euros et plus, je crois avoir mieux à faire (je peux ? c’est là mon opinion). Les critiques professionnels m’ont toujours-souvent parus inutiles, tant il est convenu qu’ils font partie, pour la plupart, d’un cirque clos où la partialité bornée, les tics, le pire copinage et la rosserie clinquante sont de rigueur. Des artifices qui ne mènent pas loin. Dans la critique. Ah, en revanche, au service d’une certaine renommée, par exemple germano-pratine…3- Et, au risque de me répéter, je m’étonne à chaque fois de la disparité des opinions (classement, notes et étoiles diverses…) concernant le même objet. S’il est souhaitable que cette disparité existe, cela va sans dire, je reste cependant songeur : comment un plat que Pierre décrète abominablement salé, un ratage total, peut-il être jugé par Paul sucré à point, un délice inouï ? C’est pour moi un réel mystère… le « background perso » du juge, peut-être ? Cela ferait (presque) froid dans le dos.

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